- 14 Décembre 2016
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- Localité
- Paris
- Véhicule
- Toyota Prius 4
VTC : les manifestations ne sont plus autant suivis que jadis ? Voici pourquoi...
Tu as sûrement vu passer ces images de chauffeurs VTC bloquant les aéroports dans les infos. Mais as-tu remarqué que ces manifestations semblent de plus en plus rares ? Et surtout, de moins en moins suivies ? Alors, qu'est-ce qui se passe exactement ? Installe-toi confortablement, je vais t'expliquer tout ça comme si on discutait autour d'un café !
Un vrai "Turn over" dans le métier de VTC
Imagine un peu : tu commences un nouveau boulot, et en 2 ans, la moitié de tes collègues ont déjà quitté l'entreprise. Ça te donnerait envie de t'investir dans les actions syndicales ? Probablement pas, hein ?
Eh bien c'est exactement ce qui arrive dans le monde du VTC en France ! En 2024, près de la moitié (48% pour être précis) des chauffeurs inscrits sur les plateformes ont moins de 2 ans d'ancienneté. C'est comme si chaque année, un gros morceau de l'équipe partait. Et devine quoi ? Les anciens, ceux qui connaissent les enjeux et qui pourraient mener la lutte, ils sont de moins en moins nombreux : seulement 31% sont toujours là depuis 4 ans.
Le VTC, ce n'est plus un métier à temps plein
Tiens, je te pose une question : si tu gagnais ta vie principalement en faisant de l'aide au devoir le week-end, te mobiliserais-tu pour défendre les droits des chauffeurs VTC ? Probablement pas, car ce n'est pas ton métier principal !
Eh bien c'est exactement ce qui se passe avec les VTC : 73% d'entre eux travaillent moins de 10 heures par semaine. Autrement dit, pour la plupart, c'est juste un petit complément de revenu, comme faire des petits boulots sur le week-end. Et seulement 0,3% font 35 heures par semaine (le temps plein quoi !).
Imagine-toi : tu es salarié dans une entreprise toute la semaine, et le soir ou le week-end, tu fais du VTC pour arrondir les fins de mois. Tu vas vraiment prendre un jour de congé pour aller manifester ? Surtout quand chaque course compte pour ton petit complément de salaire ?
Les syndicats parlent à qui, au juste ?
C'est un peu comme si ton club de sport organisait des entraînements de natation alors que la moitié des membres ne sait pas nager ! Les syndicats VTC ont du mal à s'adapter à cette nouvelle réalité.
Les revendications traditionnelles ("augmentation des tarifs", "mieux réguler les plateformes") parlent surtout aux rares chauffeurs qui dépendent entièrement du VTC.
Mais pour les autres, ceux qui font ça à côté, c'est un peu comme si on leur parlait d'un problème qui n'est pas le leur.
Et si on changeait d'approche ?
Alors, comment faire pour que les choses bougent ? Peut-être en repensant complètement la manière de mobiliser :
1) Cibler ceux qui en ont vraiment besoin : pourquoi ne pas se concentrer sur ce petit 0,3% de chauffeurs à temps plein ? Ce sont eux qui ont le plus à perdre, et donc le plus à gagner à se mobiliser.
2) Créer des solutions qui marchent pour tout le monde : par exemple, des outils simples pour que même ceux qui font du VTC à côté puissent s'organiser sans tout chambouler dans leur vie.
3) Parler le langage du quotidien : plutôt que des discours syndicaux complexes, expliquer concrètement comment telle mesure va améliorer LA course de demain.
Une question pour toi
Et toi, si tu faisais du VTC à côté de ton travail principal, qu'est-ce qui te motiverait à descendre dans la rue ? Une augmentation immédiate des tarifs ? Une meilleure protection en cas de problème avec une plateforme ? Ou autre chose ?
Dis-moi tout en commentaire ! Parce qu'en fin de compte, c'est en écoutant vraiment les besoins de chacun qu'on trouvera des solutions qui fonctionnent pour tous.
Et n'oublie pas : même si tu ne peux pas manifester, tu peux déjà partager cet article à un chauffeur VTC que tu connais. Parfois, une petite discussion peut enclencher de grands changements !
P.-S. : VTC, raconte-nous ton expérience ! On est tous curieux de savoir à quoi ça ressemble vraiment derrière le volant entant que débutant dans le métier en 2025.
Tu as sûrement vu passer ces images de chauffeurs VTC bloquant les aéroports dans les infos. Mais as-tu remarqué que ces manifestations semblent de plus en plus rares ? Et surtout, de moins en moins suivies ? Alors, qu'est-ce qui se passe exactement ? Installe-toi confortablement, je vais t'expliquer tout ça comme si on discutait autour d'un café !
Un vrai "Turn over" dans le métier de VTC
Imagine un peu : tu commences un nouveau boulot, et en 2 ans, la moitié de tes collègues ont déjà quitté l'entreprise. Ça te donnerait envie de t'investir dans les actions syndicales ? Probablement pas, hein ?
Eh bien c'est exactement ce qui arrive dans le monde du VTC en France ! En 2024, près de la moitié (48% pour être précis) des chauffeurs inscrits sur les plateformes ont moins de 2 ans d'ancienneté. C'est comme si chaque année, un gros morceau de l'équipe partait. Et devine quoi ? Les anciens, ceux qui connaissent les enjeux et qui pourraient mener la lutte, ils sont de moins en moins nombreux : seulement 31% sont toujours là depuis 4 ans.
Le VTC, ce n'est plus un métier à temps plein
Tiens, je te pose une question : si tu gagnais ta vie principalement en faisant de l'aide au devoir le week-end, te mobiliserais-tu pour défendre les droits des chauffeurs VTC ? Probablement pas, car ce n'est pas ton métier principal !
Eh bien c'est exactement ce qui se passe avec les VTC : 73% d'entre eux travaillent moins de 10 heures par semaine. Autrement dit, pour la plupart, c'est juste un petit complément de revenu, comme faire des petits boulots sur le week-end. Et seulement 0,3% font 35 heures par semaine (le temps plein quoi !).
Imagine-toi : tu es salarié dans une entreprise toute la semaine, et le soir ou le week-end, tu fais du VTC pour arrondir les fins de mois. Tu vas vraiment prendre un jour de congé pour aller manifester ? Surtout quand chaque course compte pour ton petit complément de salaire ?
Les syndicats parlent à qui, au juste ?
C'est un peu comme si ton club de sport organisait des entraînements de natation alors que la moitié des membres ne sait pas nager ! Les syndicats VTC ont du mal à s'adapter à cette nouvelle réalité.
Les revendications traditionnelles ("augmentation des tarifs", "mieux réguler les plateformes") parlent surtout aux rares chauffeurs qui dépendent entièrement du VTC.
Mais pour les autres, ceux qui font ça à côté, c'est un peu comme si on leur parlait d'un problème qui n'est pas le leur.
Et si on changeait d'approche ?
Alors, comment faire pour que les choses bougent ? Peut-être en repensant complètement la manière de mobiliser :
1) Cibler ceux qui en ont vraiment besoin : pourquoi ne pas se concentrer sur ce petit 0,3% de chauffeurs à temps plein ? Ce sont eux qui ont le plus à perdre, et donc le plus à gagner à se mobiliser.
2) Créer des solutions qui marchent pour tout le monde : par exemple, des outils simples pour que même ceux qui font du VTC à côté puissent s'organiser sans tout chambouler dans leur vie.
3) Parler le langage du quotidien : plutôt que des discours syndicaux complexes, expliquer concrètement comment telle mesure va améliorer LA course de demain.
Une question pour toi
Et toi, si tu faisais du VTC à côté de ton travail principal, qu'est-ce qui te motiverait à descendre dans la rue ? Une augmentation immédiate des tarifs ? Une meilleure protection en cas de problème avec une plateforme ? Ou autre chose ?
Dis-moi tout en commentaire ! Parce qu'en fin de compte, c'est en écoutant vraiment les besoins de chacun qu'on trouvera des solutions qui fonctionnent pour tous.
Et n'oublie pas : même si tu ne peux pas manifester, tu peux déjà partager cet article à un chauffeur VTC que tu connais. Parfois, une petite discussion peut enclencher de grands changements !
P.-S. : VTC, raconte-nous ton expérience ! On est tous curieux de savoir à quoi ça ressemble vraiment derrière le volant entant que débutant dans le métier en 2025.
