Bonsoir à toutes et à tous,
Chers collègues,
Depuis quelque temps, je m’interroge sur les tarifs appliqués pour les courses en direction des aéroports. En effet, les déposes minutes sont limitées à un maximum de trois passages par jour dans certains aéroports, voire à deux dans d’autres, comme à Nantes. Cette contrainte impose une réflexion sur la tarification minimale pour ces trajets.
Nous faisons face à des courses vers l’aéroport avec des montants parfois aussi bas que 9 ou 10 € (fréquent à Bordeaux), ce qui devient difficilement viable compte tenu des restrictions sur le nombre de passages. Il me paraît donc nécessaire de nous battre pour établir un tarif plancher. Il ne s’agit pas ici d’un caprice, mais d’une question d’équité et de rentabilité.
Un tarif minimum incitatif permettrait non seulement d’accepter ces courses en toute sérénité, mais aussi de mieux faire face aux contraintes imposées par les aéroports. De plus, au-delà d’un certain temps d’attente (généralement 10 minutes), des frais supplémentaires sont imposés à la sortie, et ce pour diverses raisons telles que la mobilité réduite du passager, son âge, ou son état de santé.
Ces situations peuvent entraîner des retards imprévus, rendant d’autant plus indispensable la mise en place d’un tarif plancher pour compenser ces aléas.
Bien à vous,
Émile
Chers collègues,
Depuis quelque temps, je m’interroge sur les tarifs appliqués pour les courses en direction des aéroports. En effet, les déposes minutes sont limitées à un maximum de trois passages par jour dans certains aéroports, voire à deux dans d’autres, comme à Nantes. Cette contrainte impose une réflexion sur la tarification minimale pour ces trajets.
Nous faisons face à des courses vers l’aéroport avec des montants parfois aussi bas que 9 ou 10 € (fréquent à Bordeaux), ce qui devient difficilement viable compte tenu des restrictions sur le nombre de passages. Il me paraît donc nécessaire de nous battre pour établir un tarif plancher. Il ne s’agit pas ici d’un caprice, mais d’une question d’équité et de rentabilité.
Un tarif minimum incitatif permettrait non seulement d’accepter ces courses en toute sérénité, mais aussi de mieux faire face aux contraintes imposées par les aéroports. De plus, au-delà d’un certain temps d’attente (généralement 10 minutes), des frais supplémentaires sont imposés à la sortie, et ce pour diverses raisons telles que la mobilité réduite du passager, son âge, ou son état de santé.
Ces situations peuvent entraîner des retards imprévus, rendant d’autant plus indispensable la mise en place d’un tarif plancher pour compenser ces aléas.
Bien à vous,
Émile
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