Toutes vos solutions, c'est des pis aller . La seule solution c'est que l'état plafonne les commissions de ces intermédiaires à 10/15%, parce que sinon rien ne les empêchera d'abuser de leur position en prenant la part du lion (elles augmentent les prix pour les clients, maintiennent le même prix pour les sous traitants , et donc prennent une part toujours plus grande du gâteau )
Même en diminuant le nombre des chauffeurs , les prix ne remonteront pas . On le voit en ce moment avec bolt en ile de France qui préfére ne pas avoir de chauffeur pour ses demandes de courses plutôt que d'augmenter les prix et de se froisser avec ses clients qu'ils ont habitué à des prix bas
Je vais être très ironique mais c'est la liberté d'entreprendre.
L'état n'a pas son mot à dire sur la politique commerciale d'une entreprise.
L'entreprise donneuse d'ordres à des objectifs, ses moyens d'y arriver et regarde dans la direction qui l'intéresse.
Le sous-traitant conducteur ( que personne n'a forcé à devenir Vtc, que personne n'a forcé à signer sans le lire un contrat de partenariat, et que personne ne retient si l'envie de changer d'air lui prend) n'est qu'un moyen d'arriver aux objectifs de l'entreprise.
Les donneurs d'ordres numériques savent très bien que la très grande majorité des chauffeurs vtc ne seraient pas là si la formation n'avait pas été réduite au strict minimum, pas là si le système dérogatoire des voitures n'avait pas été mis en place, pas là si un système de contrôle bien plus sévère était mis en place.
Donc, ils savent que pour cette majorité, il n'y a pas d'alternatives viables, la facilité l'a emporté sur le reste.