- 14 Décembre 2016
- 6 764
- 7 033
- Localité
- Paris
- Véhicule
- Toyota Prius 4
Un syndicat professionnel créé : les VTC de La Réunion s’organisent
Moins de six mois après sa création, la CSNERT Réunion, l’organisation patronale des VTC, veut aider cette profession à faire sa place à côté des taxis. Elle se justifie par ailleurs sur les différences de tarifs entre l’île et l’Hexagone.
« Les touristes ou les voyageurs qui viennent visiter notre île pensent trouver les services de plates-formes de métropole comme Uber ou Bolt. Ils sont surpris par les prix. La différence entre les chauffeurs des plates-formes de métropole et nous, c’est que les chauffeurs VTC de la Réunion ne sont pas que des chauffeurs, Ils sont ambassadeurs et ambassadrices de leur île. Ce sont des guides qui vous donnent des conseils sur des lieux à visiter, des événements à ne pas manquer, vous parlent de l’histoire de La Réunion, vous proposent des excursions sur mesure avec professionnalisme et une grande connaissance de leur île», conclut l’organisation patronale locale des VTC.
Créée en juillet 2025, l’antenne réunionnaise de la CSNERT (Chambre syndicale nationale des entreprises de voitures avec chauffeur), l’organisation patronale des exploitants de VTC, s’est réunie la semaine dernière autour de son président, Jean-Bernard Bancala, et des membres du bureau.
« Après analyse de la situation et des actions déjà engagées, il a été décidé à l’unanimité de déclencher une alerte éthique, notamment concernant des dossiers spécifiques réservés à d’autres professions réglementées, auxquels les VTC n’ont pas accès, ainsi que des dossiers mis en avant par certains VTC, susceptibles d’induire en erreur les chauffeurs non expérimentés Il a également été acté la volonté collective de se désolidariser clairement de certaines pratiques qui ternissent l’image de la profession», énumère l’organisation.
« La profession de chauffeur privé n’est pas très connue à l’île de la Réunion par les locaux qui confondent souvent avec les taxis, ajoute Jean-Bernard Bancala. Ce sont deux réglementations et des services différents. Il y a aussi les capacitaires, tous au service des Réunionnais pour leurs différents besoins de déplacements.
Après des rendez-vous avec la Chambre de métiers et de l’artisanat, la sous-préfecture de Saint-Paul et l’aéroport, «les échanges ont porté sur les problématiques actuelles de la profession, les difficultés rencontrées sur le terrain, ainsi que les actions à mettre en place pour améliorer les conditions d’exercice et renforcer la représentation de la CSNERT Réunion sur l’île», relate le président.
www.lequotidien.re
Moins de six mois après sa création, la CSNERT Réunion, l’organisation patronale des VTC, veut aider cette profession à faire sa place à côté des taxis. Elle se justifie par ailleurs sur les différences de tarifs entre l’île et l’Hexagone.
« Les touristes ou les voyageurs qui viennent visiter notre île pensent trouver les services de plates-formes de métropole comme Uber ou Bolt. Ils sont surpris par les prix. La différence entre les chauffeurs des plates-formes de métropole et nous, c’est que les chauffeurs VTC de la Réunion ne sont pas que des chauffeurs, Ils sont ambassadeurs et ambassadrices de leur île. Ce sont des guides qui vous donnent des conseils sur des lieux à visiter, des événements à ne pas manquer, vous parlent de l’histoire de La Réunion, vous proposent des excursions sur mesure avec professionnalisme et une grande connaissance de leur île», conclut l’organisation patronale locale des VTC.
Créée en juillet 2025, l’antenne réunionnaise de la CSNERT (Chambre syndicale nationale des entreprises de voitures avec chauffeur), l’organisation patronale des exploitants de VTC, s’est réunie la semaine dernière autour de son président, Jean-Bernard Bancala, et des membres du bureau.
« Après analyse de la situation et des actions déjà engagées, il a été décidé à l’unanimité de déclencher une alerte éthique, notamment concernant des dossiers spécifiques réservés à d’autres professions réglementées, auxquels les VTC n’ont pas accès, ainsi que des dossiers mis en avant par certains VTC, susceptibles d’induire en erreur les chauffeurs non expérimentés Il a également été acté la volonté collective de se désolidariser clairement de certaines pratiques qui ternissent l’image de la profession», énumère l’organisation.
« La profession de chauffeur privé n’est pas très connue à l’île de la Réunion par les locaux qui confondent souvent avec les taxis, ajoute Jean-Bernard Bancala. Ce sont deux réglementations et des services différents. Il y a aussi les capacitaires, tous au service des Réunionnais pour leurs différents besoins de déplacements.
Après des rendez-vous avec la Chambre de métiers et de l’artisanat, la sous-préfecture de Saint-Paul et l’aéroport, «les échanges ont porté sur les problématiques actuelles de la profession, les difficultés rencontrées sur le terrain, ainsi que les actions à mettre en place pour améliorer les conditions d’exercice et renforcer la représentation de la CSNERT Réunion sur l’île», relate le président.
Un syndicat professionnel créé : les VTC de La Réunion s’organisent
Créée en juillet 2025, l’antenne réunionnaise de la CSNERT (Chambre syndicale nationale des entreprises de voitures avec cha ...











