- 24 Août 2017
- 47
- 59
- Localité
- Bordeaux
- Véhicule
- S3XY
Bonjour à tous,
Je pense qu’il est temps de poser la question clairement : jusqu’où doit-on accepter la baisse des prix qui nous est imposée par les plateformes ?
Nous sommes censés être des entrepreneurs indépendants, mais dans les faits, ce sont les applications qui décident de nos revenus. Les prix baissent, nos charges restent les mêmes, et au final c’est nous qui absorbons toute la différence.
Peut-on encore parler de rentabilité quand une course est payée à peine plus que le prix d’un plein de carburant au kilomètre parcouru ?
Jusqu’à quand allons-nous accepter de travailler plus pour gagner moins ?
Certains essaient de tenir en multipliant les heures, en réduisant au maximum leurs coûts, ou en cherchant des alternatives (clients privés, longues distances, services premium). Mais soyons honnêtes : à force de tirer les prix vers le bas, ce métier risque de devenir invivable.
Je voudrais donc lancer le débat :
• Où fixez-vous votre seuil de tolérance sur les tarifs ?
• Quelle stratégie mettez-vous en place pour ne pas subir cette politique tarifaire ?
• Ne faudrait-il pas, à un moment donné, poser des limites collectivement ?
Parce qu’au rythme où vont les choses, si on continue à accepter sans rien dire, demain une course coûtera moins cher qu’un café, et ce sera nous les premiers perdants.
Qu’en pensez-vous ?
Je pense qu’il est temps de poser la question clairement : jusqu’où doit-on accepter la baisse des prix qui nous est imposée par les plateformes ?
Nous sommes censés être des entrepreneurs indépendants, mais dans les faits, ce sont les applications qui décident de nos revenus. Les prix baissent, nos charges restent les mêmes, et au final c’est nous qui absorbons toute la différence.


Certains essaient de tenir en multipliant les heures, en réduisant au maximum leurs coûts, ou en cherchant des alternatives (clients privés, longues distances, services premium). Mais soyons honnêtes : à force de tirer les prix vers le bas, ce métier risque de devenir invivable.
Je voudrais donc lancer le débat :
• Où fixez-vous votre seuil de tolérance sur les tarifs ?
• Quelle stratégie mettez-vous en place pour ne pas subir cette politique tarifaire ?
• Ne faudrait-il pas, à un moment donné, poser des limites collectivement ?
Parce qu’au rythme où vont les choses, si on continue à accepter sans rien dire, demain une course coûtera moins cher qu’un café, et ce sera nous les premiers perdants.
Qu’en pensez-vous ?