- 12 Décembre 2019
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- Localité
- Paris
- Véhicule
- Toyota Prius
Ils n’ont vraiment pas besoin de remède. Quand on constate que l’on ne parle pas d’une même voie et que les discordances existent mêmes chez les représentants VTC.ils savent y remédier.
Comment veux-tu être crédible auprès des interlocuteurs (État, plateformes).
Je pense que l’on se suffit à nous-mêmes et que l’on a vraiment pas besoin d’ « aide » extérieure pour mettre sur la place publique nos divergences.
Il suffit d’aller voir sur certaines pages FB liées aux VTC et tu rendras comptes de la situation (insultes, dénigrements etc...)
Il n’y a pas plus ENNEMI DE SES INTÉRÊTS qu’un chauffeur VTC...
Les plateformes ne sont fortes que de nos faiblesses, et si elles se heurtaient à un front commun alors il n’y a nul doute que nous mènerions la danse.
Ça ne reste qu’un rêve à voie haute...
Lorsque les syndicats demandent aux chauffeurs de descendre dans la rue pour faire valoir leur droits, alors la quasi totalité restes chez eux.
Lorsqu’ils leurs demandent de rester chez eux vu la gravité de la situation sanitaire actuelle, alors ils souhaitent sortir

Je laisse à chacun l’interprétation de la discipline et la définition que l’on a de la solidarité.
Libre à chacun de faire valoir ou non ses droits et je résumerai ce comportement par une phrase d’Ernesto Guevara :
« Celui qui n’a pas le courage de se rebeller, n’a pas le droit de se lamenter... »