Vous consultez :
Heetch Appli transport : Heetch revendique sa différence avec UberPoP


Heetch Appli transport : Heetch revendique sa différence avec UberPoP


Pharamond

Zoneur amateur
9 Mai 2015
51
35
Localité
Paris
ça a 3 jours... mais quand même :

Cofondateur de Heetch, Teddy Pellerin, estime que les applications collaboratives ne sont pas toutes semblables. Il dénonce l'amalgame entre son service de transport nocturne à titre non onéreux et UberPoP.

"Toutes les applications communautaires et collaboratives ne sont pas semblables" s'insurge la start-up française Heetch. Teddy Pellerin, cofondateur de Heetch avec Mathieu Jacob et Aylic, dénonce mardi l’amalgame réalisé, selon lui, entre son service et celui d’UberPoP, un service de mise en relation entre particuliers qui relève d’une activité illégale, visée par la loi Thévenoud du 1er octobre 2014.

Il ne comprend pas pourquoi son service - une plate-forme mobile de Transport nocturne entre particuliers à titre non onéreux (voir encadré) "est identifié comme concurrent de UberPoP par les pouvoirs publics et par les media alors qu’il permet au contraire d’offrir une solution pour le retour de soirée des jeunes".

Et il ajoute : "Nous ne sommes en aucun cas en concurrence avec les taxis, et notre offre n’a rien à voir avec celle d’UberPoP. Il y a clairement amalgame et confusion des genres. Nous rappelons que Heetch n'est aucunement illégal". Il demande donc aux pouvoirs publics "de revoir leur jugement nous concernant" afin de poursuivre sereinement son activité.


Heetch : une application réservée à la nuit
Basée à Paris, Heetch (15 salariés, 200.000 utilisateurs, plus de 5.000 conducteurs) est né d'un constat. La nuit, les 18-25 ans sont confrontés à cette alternative : ou bien des transports collectifs en nombre insuffisant, ou bien des taxis... financièrement hors de portée. D'où des comportements à risque (conduite nocturne, attente de l’ouverture des transports sur la voie publique, etc.). La réponse de Heetch consiste "à mettre en relation entre 20 h et 6h du matin, par une application mobile, des conducteurs particuliers avec des usagers, afin de permettre à ces derniers de rentrer chez eux dans des conditions de sécurité optimales et à un coût compatible avec leurs moyens".

Gains financiers limités

Contrairement à UberPoP , les rentrées financières des conducteurs sont limitées afin qu’ils ne puissent pas tirer profit de cette activité mais juste rembourser leurs frais. Les conducteurs Heetch amortissent seulement le coût annuel de leur voiture, au-delà, leur compte est bloqué. Pour Teddy Pellerin, son service est "complémentaire de l’offre des taxis et de VTC". Il estime qu'il répond "à un besoin fort, croissant et jusqu’ici non satisfait par les acteurs du transport professionnel et collectif".

Au-delà du cas de Heetch, d'autres organisations demandent de ne pas jeter le bébé covoiturage avec le bain d'UberPoP. Ainsi la Fnaut, une association d'usagers des transports, a-t-elle fait savoir récemment que, si la concurrence d'UberPoP est bien illégale , les taxis ne doivent pas se cantonner à une attitude défensive face au covoiturage (*) régulier avec rémunération en général , comme aux VTC, aux mototaxis et aux multiples formes, conventionnées ou non, d'autopartage. "Ayant peu évolué, les taxis se situent mal dans cette jungle, étant eux-mêmes à mi-chemin entre un statut libéral – le chauffeur est maître à bord – et un statut public du fait qu'ils sont soumis à une réglementation et à une autorité publique (la préfecture de police dans l'agglomération parisienne, une préfecture en province)", souligne la Fnaut.

Quant à la Direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes, elle vient de rappeler que "l’entretien d’une confusion entre le covoiturage licite et un service de transport à but lucratif constitue une pratique commerciale trompeuse".

(*) Selon la loi du 27 janvier 2014(1), le covoiturage « est l’utilisation en commun d’un véhicule terrestre à moteur par un conducteur non professionnel et un ou plusieurs passagers majeurs pour un trajet commun. En cas d’inexistence, d’insuffisance ou d’inadaptation de l’offre privée, les autorités mentionnées à l’article L. 1231-1, seules ou conjointement avec d’autres collectivités territoriales ou groupements de collectivités intéressés, peuvent mettre à disposition du public des plates-formes dématérialisées facilitant la rencontre des offres et demandes de covoiturage. Elles peuvent créer un signe distinctif des véhicules utilisés dans le cadre d’un covoiturage. Dans ce cas, elles définissent au préalable ses conditions d’attribution.«

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-se...-avec-UberPoP-1133075.php?UY5oYLMjGYWvMgBu.99
 


martin

Zoneur Reconnu
15 Avril 2015
895
640
Localité
Paris
ça a 3 jours... mais quand même :

Cofondateur de Heetch, Teddy Pellerin, estime que les applications collaboratives ne sont pas toutes semblables. Il dénonce l'amalgame entre son service de transport nocturne à titre non onéreux et UberPoP.

"Toutes les applications communautaires et collaboratives ne sont pas semblables" s'insurge la start-up française Heetch. Teddy Pellerin, cofondateur de Heetch avec Mathieu Jacob et Aylic, dénonce mardi l’amalgame réalisé, selon lui, entre son service et celui d’UberPoP, un service de mise en relation entre particuliers qui relève d’une activité illégale, visée par la loi Thévenoud du 1er octobre 2014.

Il ne comprend pas pourquoi son service - une plate-forme mobile de Transport nocturne entre particuliers à titre non onéreux (voir encadré) "est identifié comme concurrent de UberPoP par les pouvoirs publics et par les media alors qu’il permet au contraire d’offrir une solution pour le retour de soirée des jeunes".

Et il ajoute : "Nous ne sommes en aucun cas en concurrence avec les taxis, et notre offre n’a rien à voir avec celle d’UberPoP. Il y a clairement amalgame et confusion des genres. Nous rappelons que Heetch n'est aucunement illégal". Il demande donc aux pouvoirs publics "de revoir leur jugement nous concernant" afin de poursuivre sereinement son activité.


Heetch : une application réservée à la nuit
Basée à Paris, Heetch (15 salariés, 200.000 utilisateurs, plus de 5.000 conducteurs) est né d'un constat. La nuit, les 18-25 ans sont confrontés à cette alternative : ou bien des transports collectifs en nombre insuffisant, ou bien des taxis... financièrement hors de portée. D'où des comportements à risque (conduite nocturne, attente de l’ouverture des transports sur la voie publique, etc.). La réponse de Heetch consiste "à mettre en relation entre 20 h et 6h du matin, par une application mobile, des conducteurs particuliers avec des usagers, afin de permettre à ces derniers de rentrer chez eux dans des conditions de sécurité optimales et à un coût compatible avec leurs moyens".

Gains financiers limités

Contrairement à UberPoP , les rentrées financières des conducteurs sont limitées afin qu’ils ne puissent pas tirer profit de cette activité mais juste rembourser leurs frais. Les conducteurs Heetch amortissent seulement le coût annuel de leur voiture, au-delà, leur compte est bloqué. Pour Teddy Pellerin, son service est "complémentaire de l’offre des taxis et de VTC". Il estime qu'il répond "à un besoin fort, croissant et jusqu’ici non satisfait par les acteurs du transport professionnel et collectif".

Au-delà du cas de Heetch, d'autres organisations demandent de ne pas jeter le bébé covoiturage avec le bain d'UberPoP. Ainsi la Fnaut, une association d'usagers des transports, a-t-elle fait savoir récemment que, si la concurrence d'UberPoP est bien illégale , les taxis ne doivent pas se cantonner à une attitude défensive face au covoiturage (*) régulier avec rémunération en général , comme aux VTC, aux mototaxis et aux multiples formes, conventionnées ou non, d'autopartage. "Ayant peu évolué, les taxis se situent mal dans cette jungle, étant eux-mêmes à mi-chemin entre un statut libéral – le chauffeur est maître à bord – et un statut public du fait qu'ils sont soumis à une réglementation et à une autorité publique (la préfecture de police dans l'agglomération parisienne, une préfecture en province)", souligne la Fnaut.

Quant à la Direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes, elle vient de rappeler que "l’entretien d’une confusion entre le covoiturage licite et un service de transport à but lucratif constitue une pratique commerciale trompeuse".

(*) Selon la loi du 27 janvier 2014(1), le covoiturage « est l’utilisation en commun d’un véhicule terrestre à moteur par un conducteur non professionnel et un ou plusieurs passagers majeurs pour un trajet commun. En cas d’inexistence, d’insuffisance ou d’inadaptation de l’offre privée, les autorités mentionnées à l’article L. 1231-1, seules ou conjointement avec d’autres collectivités territoriales ou groupements de collectivités intéressés, peuvent mettre à disposition du public des plates-formes dématérialisées facilitant la rencontre des offres et demandes de covoiturage. Elles peuvent créer un signe distinctif des véhicules utilisés dans le cadre d’un covoiturage. Dans ce cas, elles définissent au préalable ses conditions d’attribution.«

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/industrie-se...-avec-UberPoP-1133075.php?UY5oYLMjGYWvMgBu.99
Il est "gentil" lui, il ne s'occupe que des 18-25 ans (pipeau) qui sortent la nuit et pour leurs bien ptdrptdr
 






Nicolas MARTIN

Zoneur Reconnu
VTC
CAPA
BOLT
UBER
LECAB
HEETCH
MY SAM
ALLOCAB
TAXI
5 Décembre 2014
552
656
Localité
Lyon
Véhicule
Tesla Model 3
A mon avis sans UberPoP le service Heetch va être très vite dépassé et ne sera pas utilisable car trop de demandes et pas assez de chauffeurs. Sans compter leur service clients/chauffeurs qui va être débordé de demandes...
 


john

Zoneur amateur
22 Janvier 2015
63
47
Localité
Paris
Je vous cache pas qi heuresement qu il reste même si j'ai remarqué que les client c est les crevard qu arrive à trouvé UberPoP trop chère mdr sx
 
  • Mal redigé
Réactions: UZ



SPONSORS

Podcast

Partenaires

Membres en ligne