- 12 Décembre 2019
- 4 730
- 8 161
- Localité
- Paris
- Véhicule
- Toyota Prius
Salut à tous et que la paix soit sur vous,
C’est la semaine des bonus, faisons un petit décryptage.
Il y’a deux grandes familles de bonus que l’on retrouve souvent :
Le gain supplémentaire après une série de courses
La réduction de commission
Même si en apparence, les chauffeurs ont l’impression qu’uber brule du cash, en réalité il n’en est rien.
Pour la première forme de bonus, le chauffeur doit se trouver dans un endroit précis et ne peut pas refuser les courses qui lui sont proposées ou passer hors ligne.
Dès lors, l’algorithme lui proposera le plus souvent des courses sans intérêts et qui trouvent difficilement preneur.
Mais ça reste du gagnant/gagnant puisque cela permet à UBER de satisfaire une demande et au chauffeur d’encaisser entre 5 et 7€ supplémentaire par course.
Il peut ainsi doubler le prix de la course minimum.
Ce bonus permet d’attirer des chauffeurs sans avoir à lancer de majoration et l’algorithme se chargera de déplacer les troupes selon les demandes.
Pour la deuxième forme (5% de commission), tous les chauffeurs ne profitent pas de ces bonus et ils seront en partie financer par ceux-là.
N’oublions pas aussi, qu’UBER n’est pas alourdi pas des charges structurelles ou salariales importantes et vu le volume de courses que UBER a, il est possible qu’avec 5% de com’ il arrive à maintenir le navire à flots.
Au final, le chauffeur s’y retrouve, les clients sont satisfaits et UBER n’y laisse pas des plumes.
Tout le monde trouve son compte sauf la concurrence…
Pendant que les chauffeurs courent après ces bonus, UBER fait de l’ombre à ses concurrents qui peinent à trouver des soldats.
Qui est toujours aussi sûr qu’uber perde pendant ces bonus… ?!?
C’est la semaine des bonus, faisons un petit décryptage.
Il y’a deux grandes familles de bonus que l’on retrouve souvent :
Le gain supplémentaire après une série de courses
La réduction de commission
Même si en apparence, les chauffeurs ont l’impression qu’uber brule du cash, en réalité il n’en est rien.
Pour la première forme de bonus, le chauffeur doit se trouver dans un endroit précis et ne peut pas refuser les courses qui lui sont proposées ou passer hors ligne.
Dès lors, l’algorithme lui proposera le plus souvent des courses sans intérêts et qui trouvent difficilement preneur.
Mais ça reste du gagnant/gagnant puisque cela permet à UBER de satisfaire une demande et au chauffeur d’encaisser entre 5 et 7€ supplémentaire par course.
Il peut ainsi doubler le prix de la course minimum.
Ce bonus permet d’attirer des chauffeurs sans avoir à lancer de majoration et l’algorithme se chargera de déplacer les troupes selon les demandes.
Pour la deuxième forme (5% de commission), tous les chauffeurs ne profitent pas de ces bonus et ils seront en partie financer par ceux-là.
N’oublions pas aussi, qu’UBER n’est pas alourdi pas des charges structurelles ou salariales importantes et vu le volume de courses que UBER a, il est possible qu’avec 5% de com’ il arrive à maintenir le navire à flots.
Au final, le chauffeur s’y retrouve, les clients sont satisfaits et UBER n’y laisse pas des plumes.
Tout le monde trouve son compte sauf la concurrence…
Pendant que les chauffeurs courent après ces bonus, UBER fait de l’ombre à ses concurrents qui peinent à trouver des soldats.
Qui est toujours aussi sûr qu’uber perde pendant ces bonus… ?!?