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Avis Nom de domaine, site Internet… : les astuces pour se lancer sur la toile


Avis Nom de domaine, site Internet… : les astuces pour se lancer sur la toile


AZF

La passion du VTC
PREMIUM
MODO
VTC
14 Décembre 2016
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Localité
Paris
Véhicule
Toyota Prius 4
En matière de présence en ligne, le confinement a fait office de catalyseur. Si de petites structures sont parvenues à "utiliser" la crise pour accélérer leur numérisation et ont ainsi réussi à conserver le lien avec leur clientèle, à en capter une nouvelle, à développer de nouveaux services (livraison à domicile, click & collect), à développer leur référencement en ligne…, d’autres vont devoir combler ce retard ! Étapes concrètes pour se lancer
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Pour les artisans prêts à se lancer sur Internet, comment procéder ?
Avant de démarrer, demandez-vous déjà "pourquoi ?". Le projet varie énormément selon son ambition, son business model, l’objectif recherché. Veut-on gagner en notoriété, développer sa clientèle, mettre en avant son expertise, son savoir-faire, ouvrir un nouveau canal de vente… ? Cela va conditionner les étapes à mettre en place, aider à se recentrer sur ses besoins réels.

Le premier enjeu est d’être visible, de générer des visites supplémentaires. Il faut donc s’assurer de sa bonne présence sur les moteurs de recherche (premier réflexe des consommateurs qui veulent en savoir plus sur une entreprise).

On peut commencer par s’inscrire sur des annuaires en ligne (payants ou gratuits), créer une fiche Google my Business, investir les réseaux sociaux. Là aussi, réfléchissez en amont au public que vous voulez toucher, au temps dont vous disposerez car chaque réseau a ses règles propres :
  • Twitter : si vous avez beaucoup de messages à faire passer et du temps au quotidien car l’audience est courte, ce qui suppose d’alimenter son compte très régulièrement.
  • Facebook : si vous avez des infos très concrètes à communiquer (un changement d’horaire, un nouveau produit, une promotion…) et que vous disposez d’un peu moins de temps.
  • Linkedin : si vous visez une cible B to B…
Le nom de domaine est aussi primordial. Comment bien le choisir ?

Le nom de domaine correspond à l’URL qu’on tape dans le navigateur pour trouver un site Internet. Il est formé d’un "label" (le nom de l’entreprise) et d’une "extension" (.com ; .fr…). Pour bien le choisir, il faut bien penser à la coordination de ces deux composantes :
  • Le label : il doit être court, le plus proche possible du nom de votre entreprise ou de votre activité, ne pas comporter trop de tirets ou de caractères spéciaux (plus simple pour la mémorisation et éviter les erreurs d’aiguillage), évocateur (lien réel entre l’enseigne physique et le site Web).
  • L’extension : si on débute, autant choisir quelque chose de générique (le ".fr" est un incontournable !). Il existe aussi presque un millier d’extensions dites "thématiques" ou "new GTLD". Plus illustratives (.store ; .shop ; .boutique ; .art qui peut répondre aux besoins d’un projet artistique) mais avec aussi le risque de s’y perdre ! Gardez en tête que le choix d’une ou de plusieurs extension(s) doit avant tout servir positivement la marque, et l’image que l’on souhaite véhiculer.
Une fois votre nom de domaine trouvé, assurez-vous sur le site du fournisseur qu’il est toujours disponible et que vous pouvez bien l’acquérir. Sachant que les extensions les plus courantes auront forcément moins de noms de domaine disponibles !

Côté budget, comptez moins de 10 €/an l’année de la création et vérifiez bien les tarifs à partir de la deuxième année et des suivantes (dites de "renouvellement"). Sachez aussi que chaque extension a sa propre grille tarifaire : si le ".fr" est autour de 7-8€/an, les extensions thématiques peuvent parfois être plus onéreuses, d’où l’intérêt de penser son budget à moyen terme (exemple des tarifs disponibles en suivant ce lien).

Une fois un nom de domaine acquis, profitez-en pour créer une adresse mail professionnelle adéquate. Une vraie marque de sérieux !

Marque et nom de domaine : anticipez !
Au moment où vous lancez votre marque ou votre entreprise, vous pouvez déjà déposer un ou plusieurs noms de domaine pour préserver votre image et assurer une cohérence future entre votre enseigne et le nom de votre site. Et ce, même si vous ne projetez pas d’en créer un dans l’immédiat…

Il est temps alors de passer à la création de son site Internet… Par quoi on commence ?
Là encore, tout dépend de vos objectifs :
  • Si vous souhaitez juste communiquer sur vos horaires, votre activité, votre actualité, un site en une page ("one page") suffit.
  • Si vous souhaitez intégrer un système de réservation, proposer des devis, un formulaire de contact, orientez-vous vers le site vitrine. Attention cependant, ces options supposent que vous vous soyez organisé en interne pour répondre avec efficacité et réactivité. Ce sont de vrais leviers de satisfaction client que vous vous devrez d’honorer.
  • Vous pouvez aussi faire le choix d’un site vitrine orienté sur la présentation de vos savoir-faire en y intégrant une galerie de photos de vos réalisations. Un point rassurant pour votre future clientèle.
  • Enfin, si vous souhaitez développer un nouveau canal de vente, optez pour un site marchand ou e-commerce. Plus complexe et fastidieux à mettre en œuvre puisqu’il faudra créer des fiches produit (visuel propre, description, tarif…), connecter un moyen de paiement (CB ou Paypal) et assurer le conditionnement et l’expédition des produits (aspect logistique à anticiper).
    Tenez-vous prêt à avoir du succès : avant de vous lancer dans un site marchand, ayez bien en tête toute la chaîne du parcours client. Celui-ci ne doit pas faire les frais d’un manque d’organisation de votre part !
Et pour la mise en œuvre ?
Vous pouvez le faire vous-même ou internaliser : cela suppose en premier lieu d’avoir du temps à y consacrer et une certaine appétence pour le sujet. Il faudra commencer par choisir son hébergement. Moyennant un paiement mensuel, le fournisseur d’hébergement vous proposera des services tels qu’un CMS (Content Management System) ou système de gestion de contenu (SGC), c’est-à-dire un logiciel qui vous permettra de créer votre site facilement. Le plus connu et simple d’utilisation est Wordpress. Vous pourrez choisir alors entre différents thèmes, personnaliser les menus, les couleurs, les textes. Optez pour la simplicité et restez en adéquation avec vos objectifs initiaux. Si vous souhaitez un site plus complet avec des modules dynamiques, il vous faudra certainement passer par la case formation !

Autres services fournis par l’hébergeur : un certain nombre d’e-mails compris, une certification SSL (celle-ci vous donne le droit d’avoir la formule "https" qui précède votre nom de domaine dans la barre d’URL, soit une adresse sécurisée ; Google pénalise désormais les sites qui possèdent un simple "http"), un espace de stockage…

Avec cette formule "fait maison", vous ne paierez que l’hébergement (moins de 10€/mois), le nom de domaine, l’e-mail professionnel et les éventuels outils de gestion (outil de référencement local, gestion des avis clients…), soit entre 45 et 60€/mois.

Vous pouvez sinon faire appel à un prestataire auquel vous pourrez soit :
  • Lui déléguer seulement la création et récupérer la gestion quotidienne (pousser une actualité, changer des horaires selon les saisons ou congés…). Les tarifs sont assez disparates selon la personne à qui vous ferez appel. Comptez moins de 500€ pour un site de quelques pages.
  • Lui confier la création puis la gestion quotidienne. Le prestataire se chargera directement des modifications sur le site, travaillera sur son référencement… Pour ce type de formule, comptez entre 50 et 100€/mois.
À quelle fréquence gère-t-on son site Internet ?
  • Pour un simple site de présentation, une mise à jour tous les trimestres (surtout des horaires) sera suffisante.
  • Si votre site recense vos actualités, vos réalisations, une revue de presse…, il est important de le faire vivre en y ajoutant du contenu frais au moins tous les mois.
  • Pour un site d’e-commerce, la gestion est plus lourde et suppose de s’y investir de façon hebdomadaire, voire quotidienne (réponse aux demandes particulières, aux commandes, mise à jour des fiches produit…). Si vous en avez la possibilité, déléguez cette mission à une personne compétente en interne.

7 clés pour réussir votre référencement local
Le référencement local sur les moteurs de recherche, réseaux sociaux et applications mobiles joue un rôle essentiel dans la visibilité des commerces de proximité et entreprises ancrées dans les territoires. Pour les artisans, c’est aujourd’hui un axe prioritaire pour faire croître leur activité, car la recherche locale surpasse les autres types de recherche lorsqu’il s’agit d’acheter.

Localisez votre site et vos pages « sociales »
Sur votre site Internet et sur vos comptes de réseaux sociaux, indiquez clairement l’adresse physique complète de votre entreprise (boutique, siège social…). N’hésitez pas à rappeler cette adresse dans le texte, en y associant votre métier et le nom de votre localité. Exemple : "coiffeur à Pontivy". Pour être identifié par les moteurs de recherche (du web et des réseaux sociaux), cette composante géographique (métier + localité) doit être répétée au sein d’articles, de pages et de publications sur les réseaux sociaux.

2. Optimisez le titre et la méta-description de votre site
Les balises "title" et "meta-description" de votre site s’affichent prioritairement dans les résultats des moteurs de recherche. Elles doivent être complétées avec soin en mentionnant votre activité et la localité. Exemple : "plombier à Évreux"... pour avoir une chance de se retrouver davantage visible sur ces mêmes moteurs de recherche.

3. Complétez et optimisez votre page Google My Business
La plupart des recherches passent par Google, posséder sa fiche Google My Business s’avère donc nécessaire. Créez et complétez avec soin votre fiche, en indiquant votre catégorie d’activité, vos coordonnées complètes (adresse physique, email, téléphone(s), URL du site, plan, produits vendus), vos horaires d’ouverture et toutes les informations utiles aux clients. Illustrez avec des photos de qualité bien représentatives de vos services : elles doivent donner envie de s’adresser à vous. Une visite virtuelle de l'établissement à 360° est un plus. Depuis peu, il est aussi possible de présenter gratuitement des produits et offres, via des fiches descriptives. Enfin, mettez régulièrement à jour votre fiche et soyez vigilant aux statistiques. Un bilan vous est envoyé chaque mois par mail.

4. Inscrivez-vous à des annuaires locaux et cartographiques
Référencez votre entreprise dans des annuaires généraux (Pages Jaunes), spécialisés selon votre activité (Yelp, TripAdvisor, La Fourchette…) et géolocalisés comme Google Maps (via Google My Business), Waze ou Mappy. Si votre collectivité territoriale recense les entreprises locales, inscrivez-vous sur son site. Idem pour votre fédération professionnelle, les annuaires sectoriels, les associations locales de commerçants, etc.

5. Utilisez les microformats pour un balisage sémantique de votre site et pages
Pour accroître votre visibilité locale sur les moteurs de recherche et pour la recherche via les assistants vocaux et applications vocales (Siri, Google Assistant…), il est conseillé de fournir des précisions sur votre activité à partir d’un code structuré (microformats ou balisage sémantique). Les moteurs de recherche se voient ainsi faciliter l’indexation de vos pages Web à partir du code intégré au sein de vos pages. Google propose un outil d’aide au balisage www.google.com/webmasters/markup-helper/u/0. Il suffit de compléter pour générer un code HTML à intégrer à son site. On peut aussi utiliser schema.org (en anglais).

6. Encouragez les avis d’internautes, échangez
Encouragez vos clients satisfaits à laisser leur avis et répondez systématiquement à tout avis qu’il soit positif, négatif, critique, qu’il apporte de nouvelles idées ou suggestions pour votre entreprise. Répondre en ligne, c’est porter de la considération à tout prospect ou client.

7. Possédez un site « responsive »
30% des recherches sur mobile sont liées à un emplacement local. 72% des clients ayant fait une recherche locale ont visité un magasin dans les 8 kilomètres à la ronde. Posséder un site « responsive » (optimisé pour le mobile) est aujourd’hui indispensable pour que les informations y soient lisibles avec des rubriques faciles à naviguer.


www.francenum.gouv.fr

 






Vancristal

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VTC
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TAXI
24 Novembre 2019
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COROLLA TOURING SPORT
Merci AZF @AZF toujours la pour plus d'infos et plus d'actualités, c'est sympa
 
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Réactions: pp9201 et AZF


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VTC
14 Décembre 2016
5 695
5 987
Localité
Paris
Véhicule
Toyota Prius 4
Un article glaner sur la toile pour consolider les obligations légales d'un site web VTC postés sur le site de la DGCCRF

En 2022, la DGCCRF a mené l’enquête dans le secteur du transport public particulier de personnes. La communication d’informations susceptibles d’induire le consommateur en erreur est répandue dans ce secteur où plus d’un établissement sur trois est en anomalie.

les pratiques commerciales trompeuses dans les mentions portant à confusion sur :
  • La qualité du professionnel (VTC ou taxi) : les chauffeurs de VTC utilisant parfois dans leur référencement ou dans l’URL de leur site internet le mot « taxi », laissant croire au consommateur qu’ils étaients chauffeurs de taxi.
  • L’identité de la société : confusion en utilisant une marque, un logo ou un nom de société existants, sans autorisation. Certains sites internet utilisaient des logos institutionnels (agglomérations, République Française, DGCCRF, aéroports, SNCF). Ces pratiques prêtent à confusion et peuvent laisser penser que les sociétés de transport sont agréées par des institutions. Outre la déloyauté de l’information vis-à-vis des consommateurs, cette présentation de signes distinctifs, de logos ou marques sans autorisation, est également de nature à créer une concurrence déloyale à l’égard des opérateurs exerçant dans le même secteur.
Les contrôles ont également permis de relever des mentions telles que « taxi VSL », « taxi médical », « transport médical », « trajet médical », qui sont susceptibles de créer de la confusion avec les transports sanitaires.

 



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