- 14 Décembre 2016
- 5 772
- 6 094
- Localité
- Paris
- Véhicule
- Toyota Prius 4
Une centaine de candidats ont passé mardi l'examen, pour cette première session.
Taxiteur ou chauffeur privé (VTC), les aspirants auront le choix. À l’issue de l’examen théorique obligatoire passé hier à la chambre des métiers de l’Hérault, ils pourront accéder aux épreuves finales de conduite, en mai prochain, afin d’obtenir le précieux permis de conduire professionnel.
Éric Dejean, élu de l’institution et patron taxiteur, rappelle les enjeux : " Les épreuves comprennent du français, de l’anglais, de la législation, du droit. Chaque métier a des lois et des obligations propres. Seul le taxi peut se mettre en maraude, le VTC ne prend ses clients que sur réservation et doit retourner à sa base ".
Une licence entre 100 et 200 000 €
La loi Grandguillaume de 2018, obligeant les futurs chauffeurs de véhicules privés à passer un examen, est issue du combat mené par les professionnels du taxi depuis l’apparition de ces transports hors licence. " Le taxi doit avoir une carte professionnelle pour le département où il travaille, un VTC peut travailler partout en France. Une licence de taxi coûte en moyenne entre 100 000 et 200 000 €. "
Sandrine Carret, en reconversion professionnelle, est venue du Cap-d’Agde pour passer l’examen : " J’aime beaucoup conduire, c’est pour moi la liberté. J’espère réussir pour pouvoir travailler chez un employeur. Il y a du travail dans la région. "
Ils sont à ce jour une cinquantaine de VTC sur Montpellier pour 123 taxis, 217 sur la Métropole ; " Taxiteur est un métier d’avenir, le VTC est souvent exploité par des centrales, les 35 heures, ce n’est pas pour nous ", avertit le chef d’entreprise. À l’issue de l’examen, 80 nouveaux chauffeurs seront sur la place, en taxi ou VTC.
[VIDEO] Montpellier : taxi ou VTC, un même concours pour les deux professions
Taxiteur ou chauffeur privé (VTC), les aspirants auront le choix. À l’issue de l’examen théorique obligatoire passé hier à la chambre des métiers de l’Hérault, ils pourront accéder aux épreuves finales de conduite, en mai prochain, afin d’obtenir le précieux permis de conduire professionnel.
Éric Dejean, élu de l’institution et patron taxiteur, rappelle les enjeux : " Les épreuves comprennent du français, de l’anglais, de la législation, du droit. Chaque métier a des lois et des obligations propres. Seul le taxi peut se mettre en maraude, le VTC ne prend ses clients que sur réservation et doit retourner à sa base ".
Une licence entre 100 et 200 000 €
La loi Grandguillaume de 2018, obligeant les futurs chauffeurs de véhicules privés à passer un examen, est issue du combat mené par les professionnels du taxi depuis l’apparition de ces transports hors licence. " Le taxi doit avoir une carte professionnelle pour le département où il travaille, un VTC peut travailler partout en France. Une licence de taxi coûte en moyenne entre 100 000 et 200 000 €. "
Sandrine Carret, en reconversion professionnelle, est venue du Cap-d’Agde pour passer l’examen : " J’aime beaucoup conduire, c’est pour moi la liberté. J’espère réussir pour pouvoir travailler chez un employeur. Il y a du travail dans la région. "
Ils sont à ce jour une cinquantaine de VTC sur Montpellier pour 123 taxis, 217 sur la Métropole ; " Taxiteur est un métier d’avenir, le VTC est souvent exploité par des centrales, les 35 heures, ce n’est pas pour nous ", avertit le chef d’entreprise. À l’issue de l’examen, 80 nouveaux chauffeurs seront sur la place, en taxi ou VTC.
[VIDEO] Montpellier : taxi ou VTC, un même concours pour les deux professions
